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9 avril 2008 3 09 /04 /avril /2008 11:01
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9 avril 2008 3 09 /04 /avril /2008 10:57
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9 avril 2008 3 09 /04 /avril /2008 10:50
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7 avril 2008 1 07 /04 /avril /2008 15:52


Tant de préjugés sur notre religion pourtant pacifiste, mais au fait, c'est quoi l'islam?


Qu’est-ce que L’islam ? -

 




Qu’est-ce que L’islam ? -

L’islam est ce qui est communément reconnu comme étant la religion pratiquée par les musulmans. L’islam est le code de conduite naturel, comme il a été révélé par Dieu Le Très-Haut à Ses Messagers, depuis Adam jusqu’au dernier d’entre eux, le Prophète Mohammed

 

Il naquit à La Mecque en l’an 571 après J.-C. et mourut en 634 après J.-C. L’islam est la dernière révélation de Dieu à l’humanité. L’islam est un mot arabe qui signifie « soumission à Dieu », l’obéissance au code de conduite décidé pour le bien de l’humanité par Dieu et révélé dans Son livre le Coran et dans la Sunna du Prophète Mohammed

 

L’islam est la religion qui assure la paix et la tranquillité dans ce bas monde et dans l’au-delà. Mohammed est Son Serviteur et Son Messager envoyé sur la terre durant une période de 23 années de révélation avec Son message complet : Le Coran (la parole de Dieu) qu’il pratiqua durant sa vie, ainsi que la conduite et le comportement qui y sont liés et connus comme sa tradition (Sunna).

 

Mohammed était un Prophète, un guide, un leader, un administrateur, un époux et un chef de famille sans comparaison. On ne devient pas musulman seulement par naissance, mais par l’observation de ce code de conduite transmit par le Prophète.

 

L’islam enseigne à l’homme la fraternité humaine sans considération de couleur, de race, de pays ou de condition sociale. Quand vous voyez les musulmans dans la prière, le jeûne, le pèlerinage ou dans l’accomplissement de toutes les choses vertueuses, vous savez que l’ Islam est une miséricorde pour le pauvre, le mal guidé ou le démuni et ceci par le libre choix de chacun, pour son propre salut.

 

Que la paix et la bénédiction de Dieu soient sur le Prophète sur sa famille et ses Compagnons.

 

Sourate Fussilat. Verset (33) : « Et qui profère plus belles paroles que celui qui appelle à Dieu, fait bonne oeuvre et dit: "Je suis du nombre des Musulmans? »

 

Sourate Yusuf. Verset(108) : « Dis: "Voici ma voie, j’appelle les gens à la religion d’Dieu, moi et ceux qui me suivent, nous basant sur une preuve évidente. Gloire à Dieu! Et je ne suis point du nombre des polythéistes. »


Le Prophète Mohammed a dit : « Transmettez de moi, même un seul verset » (Rapporté par El Bukhari. )

 

 

Révision : Abû Ahmed

 

Source : Tiré du site sourceislam.com



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28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 19:06




J'ai envie de vous faire découvrir un endroit, Ghadames, un petit village dans le désert libyen où j'étais allée lorsque j'étais enceinte de Jounayd (plus de 6 heures de voiture l'aller), quasi 50°C (sans exagérer)

mais tellement beau, les petites maisons, magnifiques, voyez par vous-mêmes







Et bien sûr, le désert, je me souviens même m'être allongée tout en haut d'une grande dune de sable mashaALLAH


Les maisons si richement décorées








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23 mars 2008 7 23 /03 /mars /2008 10:13


Voilà qui va raviver de très bons souvenirs chez certains! Moi la première !

Petit tour à Tripoli, photos des endroits par où nous sommes passés


Vue d'ensemble de Tripoli

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La cornicheLYTIP012BW.jpg
La porte romaine
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La mosquée
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Ruelles dans la Médina


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29 février 2008 5 29 /02 /février /2008 10:04
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C’est une vraie reine !!!

 

 

 

             

           Notre voisine était une femme âgée d’environ soixante-dix ans. Elle nous inspirait de la compassion, lorsqu’on la voyait sortir et entrer sans personne de sa famille, ou de ses proches, pour l’épauler. Elle achetait elle-même sa nourriture et ses habits. Son domicile était paisible, sans aucune compagnie. Personne ne frappait à sa porte. Un jour, je voulus accomplir mon devoir de voisin que nous impose l’islam. C’est à cet instant qu’elle fut vraiment très étonnée lorsqu’elle me vit, alors que je n’avais pas fait grand-chose. Mais cette femme vivait dans une société où les bonnes actions n’existent pas, ni la douceur et la tendresse. En effet, les relations de voisinage se limitent, dans le meilleur des cas, aux bonjours et aux bonsoirs.

 

            Le deuxième jour, elle vint chez nous avec des bonbons pour les enfants et une carte de vœux dans laquelle elle écrivit l’expression de ses remerciements et de sa considération pour le service que nous lui avions rendu. Je l’incitai à venir rendre visite à ma femme. Elle venait ainsi la voir de temps en temps. Au fur et à mesure des visites qu’elle nous faisait, elle se rendit compte que l’homme, dans notre pays, était le responsable de sa maison et de sa famille, qu’il travaillait pour eux, qu’il leur achetait la nourriture et les vêtements. De même qu’elle apprit le profond respect des musulmans pour la femme, qu’elle soit fille, épouse ou mère, et plus particulièrement lorsqu’elle devient âgée. À ce moment-là, ses enfants et petits-enfants entrent en compétition pour être à son service et la respecter… Quant à celui qui refuse de servir ses parents et de les aider, il est mis en marge de la société.

 

            La vieille femme remarquait de près la solidarité familiale musulmane : Comment se comportait le père avec ses enfants, comment ils se rassemblent autour de lui, lorsqu’il pénètre dans la maison, et comment la femme se dévoue pour rendre service à son mari … La pauvre comparait sa situation à la nôtre, en se rappelant qu’elle avait des enfants et des petits-enfants, dont elle ignorait jusqu’à leur domicile, et qui ne lui rendaient jamais visite. Elle pouvait bien mourir et être enterrée, ou même incinérée, sans qu’ils en soient au courant. Ils n’y accordaient d’ailleurs aucune importance. Quant à sa maison, elle est le fruit de son travail et de son dur labeur tout au long de sa vie.

 

            Elle raconta à ma femme les nombreuses difficultés auxquelles a fait face la femme occidentale dans son travail et dans l’achat des besoins de la maison. Puis elle conclut ainsi : « La femme, dans votre pays, est bel et bien une reine, et si ce n’était mon âge avancé, je me serais marié avec un homme qui ressemble à votre mari et j’aurais vécu comme vous vivez. »

 

            Ô Seigneur ! À toi appartient la louange pour nous avoir comblés du bienfait de l’islam. Allah le Très-Haut dit :

 

 « Ils te rappellent leur conversion à l’islam comme si c’était une faveur de leur part. Dis : Ne me rappelez pas votre conversion à l’islam comme une faveur. C’est tout au contraire une faveur dont Allah vous a comblés en vous dirigeant vers la foi, si toutefois vous êtes véridiques. » (les appartements, verset 17)

 

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21 février 2008 4 21 /02 /février /2008 08:57
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Avant de vous faire partager cette suite, je tenais à rappeler que l'auteur tient parfois des propos généraux au sujet de la société occidentale, notamment lorsqu'il parle du manque de générosité, or il ne faudrait pas prendre ces propos comme une généralisation absolue, on sait bien évidemment qu'il y a des occidentaux qui respectent les valeurs humaines.

La femme occidentale et le mariage.

 

 

 

             

           Cher lecteur, j’ai pu déjà t’informer que j’étais psychothérapeute. Ce travail me donne l’occasion de percevoir un autre visage de nos sociétés et de communiquer avec des personnes diverses, hommes ou femmes. Il est normal, pour celui qui travaille dans ce genre de spécialisations, de donner de l’importance aux problèmes des gens. Le spécialiste peut marcher dans la rue et avoir son attention attirée par quelque chose, à laquelle le simple passant n'accordera pas d'importance. J’espère tant voir les savants prédicateurs prêter plus attention à ce genre de situations et présenter des solutions satisfaisantes. En effet, leur rôle sera plus important que celui des médecins ou des représentants de l'ordre, car ne pas appliquer les directives islamiques est un des plus importants facteurs qui provoque ce genre de maladies.

 

            J’ai tenu à évoquer cette introduction, pour que le lecteur ne s’étonne pas des évènements que je vais citer, notamment les consultations médicales que viennent faire les femmes chez nous, et l’écoute de leurs problèmes. Certes, il n’y a pas de guérison sans écouter et débattre de ces problèmes.

 

            Après cette introduction, je retourne à mon propos, celui de la femme occidentale et le mariage :

 

            Au début de mon séjour en Angleterre, j’étais étonné de voir que c’était la femme qui pourvoyait aux dépenses de l’homme ; je remarquais cela, lorsque je montais dans le train, ou lorsque j'entrais dans un restaurant, en effet, le mot « générosité » n'existe pas dans le vocabulaire des Occidentaux.

 

            Plus tard, lorsque cet étonnement s’amenuisa et lorsque les malades m’informèrent de la cause de ce phénomène, j’ai compris d’eux que l’homme n’aime pas être lié par l’acte de mariage, mais il préfère avoir ce qu’ils appellent une « petite amie » « girl friend » et les femmes disent « mon petit ami » « boy friend ». Ceci n’a rien à voir avec la loyauté! Comme ils ont déformé ce mot, car l'ami signifie : la loyauté, l’amour, le bon comportement, l’honneur, la générosité, la fidélité et autres belles et sublimes significations.

 

            Le compagnon, chez eux, vit des années ou des mois avec la femme, sans subvenir à ses besoins, c’est plutôt elle qui le fait pour lui, dans la majorité des cas. Il peut aussi quitter la maison quand il le souhaite, ou il peut demander à la femme de quitter sa maison, si elle vit chez lui. C’est pour cette raison que, chez eux, la femme vit dans l’angoisse et dans une grande peur ; elle redoute que son compagnon se lie avec une autre femme pour ensuite la quitter, sans qu’elle puisse trouver un autre petit ami !!!

 

            Comme on dit « l’exemple éclaircit l’argumentation », j’ai donc choisi un seul exemple parmi tant d’autres, qui montre le statut de la femme en Occident.

 

            J’ai pu rencontrer, lors de mes consultations thérapeutiques, une femme d’une vingtaine d’années, dans état psychologique dépressif. Plus tard, elle se sentit un peu mieux et commença à s'exprimer consciencieusement, je l’ai alors questionné sur sa vie. Elle me répondit, en larmes : « Mon seul problème est que je vis dans un état d’angoisse et de désarroi, je ne sais pas quand mon petit ami va me quitter et je ne peux même pas lui demander de se marier avec moi, car j’ai peur de sa réaction. On m’a conseillé d’avoir un enfant de lui, afin que ceci l’encourage au mariage. Voici l'enfant et comme vous pouvez le constater la beauté ne me fait pas défaut, malgré tout cela j'entreprends tout ce qui en mon pouvoir, comme services et dépenses d’argent, et pourtant je n’ai pas réussi à le convaincre de se marier. Voilà la véritable raison de ma maladie et sa cause majeure. J’ai le sentiment d’être isolée dans cette société, je n’ai pas de mari pour m’aider à assumer les charges de la vie. J’ai une famille, mais c'est comme si elle n'existait pas. Si j’avais su, je serais restée sans enfant, parce que je ne veux pas qu’il souffre et qu’il soit malheureux dans cette vie, comme j’ai souffert et été malheureuse. »

 

            Cette femme malade n’est nullement une exception de la société occidentale, ce sont plutôt ceux qui vivent une vie tranquille qui font exception…Après tout cela, les Occidentaux trouvent à critiquer nos sociétés musulmanes et prétendent que nos femmes y vivent une vie misérable et triste. Seulement, nous, nous ne prêtons aucune importance à l’opinion que l’Occident a de nous et nous ne leur demandons même pas d’avoir un bon comportement à notre égard. Par contre, nous voulons que nos femmes remercient Allah (qu’Il soit exalté) pour les bienfaits de l’islam. En effet, la femme était, à l’époque de l’ignorance (l’époque antéislamique), humiliée et méprisée. Mais vint l’islam pour élever son statut, et par la grâce d’Allah, l’homme commença à chercher lui-même, la main d’une femme pour se marier, et elle, à son tour, pouvait accepter comme refuser. Sa famille joue également un rôle important dans son mariage. De même, la femme, qu’elle soit chez son mari ou chez son père, est respectée et noble ; ceux sont les hommes qui subviennent à ses besoins. Ce dont nous nous plaignons dans nos sociétés, c’est l’excès dans le prix de la dot et les dépenses immodérées imposées à l’homme, pour qu’il puisse se marier. Allah le Très-Haut a dit :

« Ils te rappellent leur conversion à l’islam comme si c’était une faveur de leur part. Dis : Ne me rappelez pas votre conversion à l’islam comme une faveur. C’est tout au contraire une faveur dont Allah vous a comblés en vous dirigeant vers la foi, si toutefois vous êtes véridiques. » (les appartements, verset 17)

 

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17 février 2008 7 17 /02 /février /2008 16:59
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J'ai décidé de vous faire partager cette lecture  qui est un constat de la situation de vie des pays occidentaux face aux valeurs de notre religion


"Tirez-en une leçon, ô vous qui êtes doués de clairvoyance !"

 

 

CE QUE J'AI VU AU ROYAUME-UNI D'ANGLETERRE
 

Auteur

 

 



Diplômé de Cambridge  

 

       

           Au commencement, j’ai été obligé d’apprendre la langue anglaise, bien que j'aie étudié la médecine dans cette langue. Mais cela était indispensable pour mener à bien mon examen ; les Anglais attendent de tout un chacun qu'il écrive et lise comme un citoyen anglais. Ainsi, comme je travaillais à l’hôpital la matinée, je n'ai eu d'autre choix que de demander à un professeur de m’apprendre comment écrire correctement mes articles. Il est habituel chez les Anglais, pour celui qui souhaite demander quelque chose, d’accrocher tout simplement une petite annonce sur la devanture d’un magasin, ou sur le panneau d'annonces d’une des facultés, la réponse parvenant alors rapidement par un coup de téléphone.

 

            Un professeur anglais, diplômé en littérature anglaise à l’Université de Cambridge, me répondit. Il m’enseigna la langue anglaise deux fois par semaine. Après être venu chez moi cinq fois, il me demanda timidement : « Mes amies me demandent comment est-il possible de venir chez une connaissance cinq fois, sans qu’il lui présente sa femme pour faire connaissance. » Sa question fut un point de départ pour discuter d’un autre sujet que les études. En effet, j’attendais une telle occasion, parce que je savais que les Anglais n’appréciaient guère l’empressement dans des discussions, au sujet desquelles ils n'avaient pas posé de questions. Il faut plutôt attendre l’occasion et répondre aux questions qu’ils posent.

 

            Je lui ai répondu succinctement : « Notre religion nous ordonne de préserver la femme et de la protéger des regards indiscrets ; il ne lui est pas permis de s’asseoir, ni de se mélanger avec les hommes hormis ses parents proches. » Ensuite, je l’ai interrogé au sujet de la mixité entre les hommes et les femmes mariés et de l’isolement entre un homme et une femme ; n’est-il pas probable qu’ils tombent dans l’adultère, même si on évaluait cette probabilité à 5 % seulement ? Il me répondit : « Oui, et même plus de 5 % ! » Une autre fois, je lui demandais : « Ces relations non conformes ne sont-elles pas une des plus importantes causes de la perversion et de la dépravation de la société ? » Il me répondit : « Bien sûr. »

 

            Je lui ai dit en résumé : « Ceci est un des bénéfices de notre religion qui nous interdit la mixité… Ainsi, la femme, chez nous, est très respectée et jouit de multiples droits qu’elle soit fille, épouse, ou bien mère. En effet, celui qui détient l’autorité sur elle subvient à tous ses besoins et il travaille pour son bien-être. Il y a dans notre système familial tellement d’amour, d’aide et de solidarité que votre société ne peut même pas le concevoir. » Il répondit : « c’est beau et très logique. » J’ai senti la sincérité dans ce qu’il disait.

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13 février 2008 3 13 /02 /février /2008 15:11
undefinedآمَنَ الرَّسُولُ بِمَا أُنزِلَ إِلَيْهِ مِن رَّبِّهِ وَالْمُؤْمِنُونَ كُلٌّ آمَنَ بِاللّهِ وَمَلآئِكَتِهِ وَكُتُبِهِ وَرُسُلِهِ لاَ نُفَرِّقُ بَيْنَ أَحَدٍ مِّن رُّسُلِهِ وَقَالُواْ سَمِعْنَا وَأَطَعْنَا غُفْرَانَكَ رَبَّنَا وَإِلَيْكَ الْمَصِيرُ


2.285. Le Messager a cru en ce qu'on a fait descendre vers lui venant de son Seigneur, et aussi les croyants : tous ont cru en Allah, en Ses anges, à Ses livres et en Ses messagers; (en disant) : “Nous ne faisons aucune distinction entre Ses messagers”. Et ils ont dit : “Nous avons entendu et obéi. Seigneur, nous implorons Ton pardon. C'est à Toi que sera le retour”.
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